1. Continuer à communiquer sous conditions
Non, la communication ne s’arrête pas six mois avant les municipales. Non, les équipes ne sont pas condamnées au silence radio sous prétexte que la campagne approche. La jurisprudence est claire : tant que l’on reste dans une logique de continuité du service public, sans ostentation, ni appel au vote, la communication institutionnelle peut (et doit) se poursuivre.
Trois questions permettent de trancher rapidement :
• Aurions-nous communiqué de la même façon en dehors du calendrier électoral ?
• Restons-nous fidèles à nos formats et canaux habituels ?
• Cette communication est-elle réellement utile aux habitants ?
Si la réponse est oui, la publication est défendable. Encore faut-il garder la bonne posture : valoriser les services, les projets collectifs, les habitants, plutôt que de surjouer la figure de l’élu·e en campagne. À lire sur Cap'Com : les 8 posture du communicant zen en période électorale : bit.ly/comzen.
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