Quand on n’a pas de pétrole… il reste les égouts et l’eau de mer pour fournir des calories au réseau de chaleur et réguler les températures des bâtiments publics. Exemples dans la capitale et au bord de la Méditerranée.
En confiant son réseau à une SEMOP, la cité picarde a opéré un choix stratégique qui a permis une extension rapide de ses installations. Le réseau de chaleur sert près du tiers de sa population, avec un mix énergétique composé pour 64 % par des énergies renouvelables. Et ce n’est pas fini.
Le maire de ce village héraultais a soutenu et accompagné la création d’une unité de méthanisation de déchets agricoles.
La cité lombarde n’est pas seulement une capitale de la mode et du design.
Une performance qui doit beaucoup à l’engagement des pouvoirs publics locaux.
Élu pour la première fois en 2001, Jean-Pierre Gorges a fait de la sobriété énergétique l’une de ses priorités. Réélu pas moins de quatre fois, le maire chartrain a multiplié les projets innovants. Alors que la crise énergétique a surpris la France entière en faisant exploser les coûts, Chartes, quant à elle, connaît une certaine […]
Lancé en 2018, le projet de réseau alimenté par une aciérie allemande sera opérationnel en 2026 grâce à un caloduc passant sous le Rhin. La SEML chargée de la réalisation et de l’exploitation regroupe des collectivités françaises et allemandes.
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