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Pour ne pas laisser la banque aux banquiers

Banque éthique, la NEF a résisté à la crise de la covid. Le président de son directoire, Bernard Horenbeek, y voit un argument pour développer son assise et les leviers d’une économie responsable. À condition toutefois que les politiques se réapproprient la question financière. Il leur lance un appel. Par Marie Pierre Vieu-Martin

La covid a radicalement changé nos modes de consommation. Les institutions financières aussi sont sur la sellette. Le capital confiance s’était déjà bien étiolé avec les scandales des Panama Papers ou les soutiens à des projets fossiles tel le Dakota Access Pipeline (1). Aujourd’hui, pour des épargnants en quête d’investissements responsables, contribuer à l’économie verte ou solidaire devient un critère essentiel. De quoi réjouir la NEF qui, depuis sa création en 1988, soutient sans relâche des projets à valeur sociale et environnementale.

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